2011 l'année Twitter
21 mars 2011 |
13h19
Temps de lecture 3 minutes
Par
François Drouin
Twitter a soufflé sa cinquième bougie il y a maintenant une semaine. Le site de microblogage connaît une croissance absolument exceptionnelle. Depuis ces sept jours, un milliard de tweets ont été envoyés. Vous imaginez ce gazouillement. Phénoménal. Si 2010 à été l'année de Facebook, 2011 sera celle du petit oiseau bleu.
Vous pouvez me suivre sur Twitter via @F_Drouin
Selon ce que rapporte Cyberpresse, en 2009, le site de microblogage a connu une croissance de 1 382 %. Et ça ne s’est pas arrêté là, bien au contraire. En 2010, environ 50 millions de tweets étaient envoyés chaque jour. Selon Twitter, le 11 mars dernier, 177 millions de ces petits gazouillements de 140 caractères et moins ont été envoyés... en une seule journée! La progression est fulgurante. Le 12 mars seulement, le site Internet a enregistré la création de 572 000 nouveaux comptes. Alors, Twitter, ça vous dit quelque chose?
Personnellement, autant Facebook me tombe sur les nerfs, autant Twitter m'emballe. Si j'ai réservé Facebook aux membres de ma famille à quelques amis outre-Atlantique pour garder le contact, Twitter c'est mon quotidien. Et je ne suis pas le seul. C’est plus qu’un outil professionnel, c’est le résumé de mon travail, de mes passions et avec le temps, c’est devenu le centre névralgique de mes communications.
Twitter a fait des adeptes dans toutes les classes de la société. De l'utilisateur anonyme, moi, peut-être vous, des mégas vedettes hollywoodienne, des politiciens (pensons à l’ineffable Denis Coderre) mais aussi, comme le rapporte Nathalie Collard de Cyberpresse, de quantité de journalistes, encore moi, et de gens œuvrant dans l'univers des communications, comme Guy A. Lepage et plus localement à des gens comme Cindy Rivard et Sylvain Dionne.
La grande force de Twitter, outre son extrême simplicité, est la rapidité d’accès à l’information qui y est véhiculée. En tout temps, on peut savoir ce qui se dit… sur tout. On parle de communication de masse en temps réel. C’est énorme… et c’est le fun. Il y a là un accès privilégié à toute personne ou personnalité qui possède un compte. Il arrive même que le génialissime sommelier François Chartier réponde à mes tweets. C’est la magie de Twitter. De plus, sa portabilité sur nos appareils téléphoniques est un atout considérable.
Si je résume, Twitter est un outil qui me permet d’avoir accès à des gens, d’échanger avec eux, alors qu’en temps normal ça serait beaucoup plus ardu par les moyens conventionnels. L’exemple de François Chartier (@papillesetM) prend ici tout son sens. Pour moi, c'est un peu ma machine à café dans mon bureau pas si virtuel que ça.
De plus, Twitter est aussi l’outil par lequel je peux démontrer mes connaissances, montrer mon travail, mes passions, tout cela en moins de 140 caractères. Un lien vers le site infodimanche.com, vers le blogue, vers mon blogue personnel, vers ma planète quoi, et voilà, c’est fait.
Seulement, Twitter n’est pas exempt de défauts. Le principal est sans conteste la répétition de l’information. Un gourou du web y poste une vérité du 2.0, même si je ne suis pas abonné à son compte, je peux vous garantir que je verrai ce tweet apparaitre minimalement à trois ou quatre reprises dans ma « timeline ». Et c’est sans compter ceux qui utilisent Twitter comme un chat, c’est à dire pour converser. Si vous êtes abonné aux deux intervenants, ça devient vite cacophonique.
Pour un historique complet de Twitter, je vous réfère à sa page Wikipédia ou à l’excellent article de Nathalie Collard sur cyberpresse.ca.
Si la planète est maintenant Twitter, j'ai l'impression que le KRTB résiste. Non, « résiste » n'est pas adéquat, disons que la région tarde à se laisser embarquer dans cette déferlante alors qu'à Rimouski, la communauté twitorrienne s'active depuis déjà un moment. J'aborderai le sujet dans un prochain billet.
D'ici là je vous laisse sur un clip un brin déjanté sur Twitter, en anglais seulement, désolé.
http://www.funnyordie.com/videos/ffb605f06a/twitter-celebrates-it-s-5th-anniversary?rel=player
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Selon ce que rapporte Cyberpresse, en 2009, le site de microblogage a connu une croissance de 1 382 %. Et ça ne s’est pas arrêté là, bien au contraire. En 2010, environ 50 millions de tweets étaient envoyés chaque jour. Selon Twitter, le 11 mars dernier, 177 millions de ces petits gazouillements de 140 caractères et moins ont été envoyés... en une seule journée! La progression est fulgurante. Le 12 mars seulement, le site Internet a enregistré la création de 572 000 nouveaux comptes. Alors, Twitter, ça vous dit quelque chose?
Personnellement, autant Facebook me tombe sur les nerfs, autant Twitter m'emballe. Si j'ai réservé Facebook aux membres de ma famille à quelques amis outre-Atlantique pour garder le contact, Twitter c'est mon quotidien. Et je ne suis pas le seul. C’est plus qu’un outil professionnel, c’est le résumé de mon travail, de mes passions et avec le temps, c’est devenu le centre névralgique de mes communications.
Twitter a fait des adeptes dans toutes les classes de la société. De l'utilisateur anonyme, moi, peut-être vous, des mégas vedettes hollywoodienne, des politiciens (pensons à l’ineffable Denis Coderre) mais aussi, comme le rapporte Nathalie Collard de Cyberpresse, de quantité de journalistes, encore moi, et de gens œuvrant dans l'univers des communications, comme Guy A. Lepage et plus localement à des gens comme Cindy Rivard et Sylvain Dionne.
La grande force de Twitter, outre son extrême simplicité, est la rapidité d’accès à l’information qui y est véhiculée. En tout temps, on peut savoir ce qui se dit… sur tout. On parle de communication de masse en temps réel. C’est énorme… et c’est le fun. Il y a là un accès privilégié à toute personne ou personnalité qui possède un compte. Il arrive même que le génialissime sommelier François Chartier réponde à mes tweets. C’est la magie de Twitter. De plus, sa portabilité sur nos appareils téléphoniques est un atout considérable.
Si je résume, Twitter est un outil qui me permet d’avoir accès à des gens, d’échanger avec eux, alors qu’en temps normal ça serait beaucoup plus ardu par les moyens conventionnels. L’exemple de François Chartier (@papillesetM) prend ici tout son sens. Pour moi, c'est un peu ma machine à café dans mon bureau pas si virtuel que ça.
De plus, Twitter est aussi l’outil par lequel je peux démontrer mes connaissances, montrer mon travail, mes passions, tout cela en moins de 140 caractères. Un lien vers le site infodimanche.com, vers le blogue, vers mon blogue personnel, vers ma planète quoi, et voilà, c’est fait.
Seulement, Twitter n’est pas exempt de défauts. Le principal est sans conteste la répétition de l’information. Un gourou du web y poste une vérité du 2.0, même si je ne suis pas abonné à son compte, je peux vous garantir que je verrai ce tweet apparaitre minimalement à trois ou quatre reprises dans ma « timeline ». Et c’est sans compter ceux qui utilisent Twitter comme un chat, c’est à dire pour converser. Si vous êtes abonné aux deux intervenants, ça devient vite cacophonique.
Pour un historique complet de Twitter, je vous réfère à sa page Wikipédia ou à l’excellent article de Nathalie Collard sur cyberpresse.ca.
Si la planète est maintenant Twitter, j'ai l'impression que le KRTB résiste. Non, « résiste » n'est pas adéquat, disons que la région tarde à se laisser embarquer dans cette déferlante alors qu'à Rimouski, la communauté twitorrienne s'active depuis déjà un moment. J'aborderai le sujet dans un prochain billet.
D'ici là je vous laisse sur un clip un brin déjanté sur Twitter, en anglais seulement, désolé.
http://www.funnyordie.com/videos/ffb605f06a/twitter-celebrates-it-s-5th-anniversary?rel=player
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