Risque calculé

Les films où la majeure partie de l’histoire se déroule dans un avion sont nombreux. Que nous pensions à «Sans arrêt», «Défense d’atterrir» ou encore «Plan de vol». Il suffit de faire une courte recherche pour en trouver une panoplie. Lorsque j’ai vu passer la bande-annonce de «Vol à haut risque» peu après les Fêtes, je me suis demandée ce que le long métrage aurait de différent à nous offrir. Nous y voici!

Pendant 90 minutes, nous sommes plongés au coeur d’une aventure aux allures plutôt conventionnelles. Il s’agit de l’histoire de Madolyn Harris, une représentante des forces de l’ordre, qui doit escorter et assurer la sécurité d’un informateur. Pour vous mettre en contexte, ce dernier doit être conduit à Anchorage, une petite ville en Alaska. Nous sommes donc bien loin des décors de forêts boréales; nous nous retrouvons plutôt dans des montagnes enneigées à perte de vue. Winston, notre délateur escorté, qui nous étourdi tellement il est incapable d’arrêter de parler, doit témoigner dans une affaire de corruption. C’est ainsi que nos deux personnages montent à bord d’un avion de brousse, piloté par Daryl Booth. En pleine zone de turbulences, le permis de pilotage de ce dernier se retrouve au sol, à la vue de Winston, qui réalise ainsi que le pilote n’est pas celui qui était supposé être… Vous le devinerez, Winston n’est pas censé arriver à destination!

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